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Sur les rivages de la mer Tyrrhénienne, la côte Sarde révèle toute sa beauté à travers de magnifiques endroits. Les plages de Sardaigne se composent de criques sauvages et de paisibles rivages. Elles sont protégées par un relief montagnard imposant qui, aux abords du littoral, plonge dans les eaux turquoise. Arrivée à l’aéroport de Cagliari, Alghero ou Olbia, prenez la direction de votre hébergement sur le mont Corrasi. Tenez-vous et réveillez l’aventurier en vous ! Cette visite de la Sardaigne promet des sensations fortes ! Commencez par le haut du versant de de la montagne, un chemin vous mènera au-dessus des bois de chênes d’Holm, vers les formations calcaires du plateau de Supramonte. Cette randonnée vous offre une merveilleuse vue sur les collines de Barumini. Vous pourrez aussi continuer vers Punta Carabidda à 1 321 m d’altitude, ou le Punta Sos Nidos à 1 348 m d’altitude. Les panoramas de cette visite de la Sardaigne sont impressionnants. La randonnée vous emmènera sur les versants des roches calcaires du Supramonte. Faites l’ascension de Scala di Sovana, jusqu’à Punta Cusidore. La randonnée est raide, sur un chemin rocheux, mais vous en êtes capable ! C’est pourtant une randonnée à faire seulement lors de bons temps et si vous êtes expérimentés. Une journée libre est prévue pour cette visite de la Sardaigne. Parcourez la vallée de Lanaitto en voiture jusqu’à Sa Oche. Le pays des nuraghés vous accueille, civilisation méditerranéenne préhistorique ayant vécu il y a des milliers d’années. Cherchez la tour cachée à Tiscali, sur le sommet de la montagne, c’est un emplacement archéologique habituellement camouflé découvert il y a quelques décennies. Cette visite de la Sardaigne continue dans les gorges les plus profondes d’Italie : les gorges de Gorropu, avec ses stupéfiantes parois verticales de 350 m de haut. Une randonnée longue mais facile, vous plongerez dans la beauté de la terre et vous marcherez au milieu d’énormes rochers. Au fond, un étang d’eau cristalline vous attend pour vous rafraîchir. Une randonnée débutera à la sortie de Dorgali. Vous marcherez vers un tunnel qui relie la ville à Cala Gonome. Le sentier grimpe jusqu’au sommet du monte Bardia à 800 m d’altitude. Vous disposerez de deux vues magnifiques sur deux vallées. À Cala Gonome, vous visiterez la ville ou ferez l’ascension du monte Irveri à 616 m d’altitude. Sur la côte sarde, découvrez les palettes de couleurs du bleu. Déambulez dans les formations calcaires de la vallée fluviale de Codula di Luna. Un phénomène y est très connu, l’eau douce change de forme avec les pluies saisonnières. Terminez cette visite de la Sardaigne sur ces couleurs, ses odeurs, ses saveurs. Ce trekking au cœur de la nature bienfaisante et dominante est accessible à tous. Elle héberge aujourd'hui une faune et une flore exceptionnelle que l'on découvre facilement au fil de notre voyage.
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Itinéraires
Jour 1
France-Olbia
Arrivée à l'aéroport de Cagliari, Alghero ou Olbia. Prise en charge de la voiture de location, puis départ en direction de l'hébergement situé sur le Mont Corrasi. Tenez prêtes vos chaussures de marche et votre esprit d'aventure pour la découverte du bonheur idyllique de la Sardaigne. Repas libres. Nuit à Oliena ou Dorgali, avec petit-déjeuner.
Jour 2
Randonnée autour du Monte Maccione
4h à 6h de marche.
Dénivelé : +750m / -850m.
La randonnée commence haut sur le versant de la montagne. Vous suivez un court et joli chemin au-dessus des bois de chênes d'Holm, vers les formations calcaires du plateau de Supramonte. Cette randonnée vous offre une merveilleuse vue sur les collines de Barumini. Vous pouvez aussi continuer à grimper jusqu'à Punta Carabidda (1321m), d'où vous pourrez voir d'extraordinaires panoramas (environ 45 minutes supplémentaires), ou bien vers Punta Sos Nidos (1348m), à travers un paysage intrigant (environ 2 heures supplémentaires). Repas libres. Nuit à Oliena ou Dorgali, avec petit-déjeuner.
Jour 3
Monte Corrasi à Gutthiadi via Pedra Mugrones et Punta Cusidore
4h30 de marche.
Dénivelé : -1150m / +1150m.
La randonnée vous emmène sur les versants des impressionnantes roches calcaires du Supramonte. Vous faites l'ascension par le versant caillouteux de Scala di Sovana jusqu'à Punta Cusidore. La randonnée jusqu'au sommet est raide, sur un paysage rocheux et le retour se fait par le même chemin. Nous recommandons de faire cette randonnée seulement par beau temps et si vous êtes un randonneur expérimenté. Si ce n'est pas le cas, optez plutôt pour une journée libre. Repas libres. Nuit à Oliena ou Dorgali, avec petit-déjeuner.
Jour 4
Sa Oche – Tiscali
4 à 5h de marche.
Dénivelé : +350 à 400m / -350 à 450m.
Un bref parcours en voiture le long de la vallée de Lanaitto vous porte à Sa Oche. Marchez dans le pays des nuraghi, une civilisation méditerranéenne préhistorique qui vécut il y a quelques milliers d'années. Cherchez la tour cachée à Tiscali, sur le sommet de la Montagne. Il s'agit d'un emplacement archéologique habilement camouflé découvert il y a seulement quelques décennies. Repas libres. Nuit à Oliena ou Dorgali, avec petit-déjeuner.
Jour 5
Randonnée à la Gorge de Gorroppu
5 à 5h30 de marche.
Dénivelé : +400m / -400m.
Pour cette journée, découvrez les gorges les plus profondes d'Italie : les gorges de Gorropu, avec ses stupéfiantes parois verticales de 350 m de haut. La randonnée est longue mais facile: vous plongez dans la beauté de la terre et vous marchez au milieu d'énormes rochers. Au fond, un étang d'eau cristalline vous attend pour vous y rafraîchir. Repas libres. Nuit à Oliena ou Dorgali, avec petit-déjeuner.
Jour 6
De Dorgali à Cala Gonone via Punta Bardia et Punta Irveri
5h30 à 8h de marche.
Dénivelé : +550 à 900m / - 850 à 1200m.
La randonnée commence juste à la sortie de Dorgali. Vous marchez vers un vieux tunnel qui relie Dorgali et Cala Gonone. Le sentier grimpe au sommet du Monte Bardia (800m), d'où il y a une longue descente graduelle (par d'autres sommets). Pendant votre marche, vous disposerez d'une pleine vue sur les deux vallées. Ensuite, vous pouvez décider de continuer vers Cala Gonone, ou bien d'ajouter l'ascension du Monte Irveri (616 m). Repas libres. Nuit à Oliena ou Dorgali, avec petit-déjeuner.
Jour 7
Randonnée autour de Cala di Luna
4 à 5h de marche.
Dénivelé : +150m / -150m.
Aujourd'hui vous découvrirez la palette de bleus de la côte sarde ! Déambulez à travers l'imposante formation calcaire de la vallée fluviale de Codula di Luna jusqu'à la plage solitaire, en demi-lune, de Cala Luna. Découvrez alors le phénomène du lac d'eau douce, bordé d'oléandres, qui change de forme avec les pluies saisonnières. Repas libres. Nuit à Oliena ou Dorgali, avec petit-déjeuner.
Jour 8
Retour en France
Après le petit-déjeuner, route pour l'aéroport d'Olbia, de Cagliari ou d'Alghero. Restitution du véhicule de location et envol pour la France.
- Les hébergements en pension ou hôtel 3* ou agrotourisme (ferme agricole) suivant votre formule.
- Le séjour avec le petit déjeuner et le dîner si vous avez choisi cette option.
- Un road book reprenant l'ensemble de l'itinéraire accompagné d'une carte détaillée.
- L'assistance en français 24/24h par téléphone par notre équipe sur place.
- La location de la voiture de votre aéroport d'arrivée à celui de votre départ.
- Les vols aller-retour si cette option a été sélectionnée lors de l'établissement de votre devis.
- Les boissons et les extras personnels.
- Les entrées dans les sites et les musées.
- Pour le repas du midi, vous avez le choix entre demander à votre hébergeur de composer votre pique-nique (en supplément) ou aller directement prendre ce que vous souhaitez dans les petites épiceries du coin ( entre 3 et 5 euros par personne).
- Les repas du soir si vous n'avez pas choisi cette option.
- L'entrée dans le site de Tiscali.
- L'assurance annulation et rapatriement.
- Tout ce qui n'est pas indiqué dans le programme.
- Les vols aller-retour si cette option n'a pas été sélectionnée lors de l'établissement de votre devis.
- La mer Tyrrhénienne et le Golfe d'Orosei : eaux cristallines et impressionnantes falaises creusées de cavernes.
- Cala Luna, une des plus belles plages de la Méditerranée.
- Visite de Tiscali, petit village nuraghe caché au sommet de la montagne.
- Voyage original sur la plus belle partie de l'île.
- Paysages superbes et surprenants.
Deuxième plus grande île de la Méditerranée occidentale, la Sardaigne ferme pour partie la mer Tyrrhénienne. Cette situation en fit un carrefour des civilisations un enjeu de pouvoir au cours des siècles. Pourtant son histoire particulière est plusieurs fois millénaire ; près des « nughari », ces monumentales tours fortifiées de l’âge du bronze, on évoque le soir les « maisons des fées » creusées dans le granite, celles de sorcières parfois, et ces « tombos de sos gigantos », tombeaux de géants que l’on redoute de rencontrer… La nature méditerranéenne a ici des aspects indomptés et l’on comprend, à parcourir les chemins reculés dans des paysages âpres et magnifiques, une partie de l’âme sarde. Prudemment, on s'approche d'une contrée sauvage encore intacte de toute activité humaine, et dans cet instant où le temps a décidé de s'arrêter, on poursuit notre chemin en trek, en 4x4. L’aventure prend alors des allures de voyage aux frontières de l'irréel.
Carte d'identité :
Intitulé officiel du pays : Sardaigne – Région autonome de la Sardaigne
Pays: Italie
Superficie: 24 090 km²
Population: 1,57 million d'habitants
Capitale: Cagliari
Religion: catholique (ultra-majoritaire)
Peuples et ethnies: 81% de Sardes ; Italiens, Catalans, Corses, Génois
Langues: italien (langue officielle), sarde, catalan
Institutions politiques: région autonome "à statut spécial" depuis 1948. Une des cinq régions jouissant d'une relative autonomie politique et administrative (avec le Val d'Aoste, le Trentin-Haut-Adige, le Frioul-Vénétie-Julienne et la Sicile).
Histoire :
6000-500 av. J.-C. – Son histoire commence au paléolithique inférieur, depuis les premiers vestiges attestant la présence de l'homme, mais ce n'est qu'au néolithique inférieur (vers 6 000 av. J.-C.) qu'il s'y installe durablement, prenant possession des terres et développant des contacts avec la Corse, l'Italie et le sud de la France.
Entre 1 500 et 500 av. J.-C., se développe la civilisation des nuraghi, ainsi appelée à cause de ses célèbres constructions de pierre en forme de tours qui parsèment encore aujourd'hui l'île.
Xe-VIe siècles av. J.-C. - Stratégiquement située en Méditerranée et riche en ressources minières, la Sardaigne est rapidement enjeu de rivalités des puissances méditerranéennes (Mycéniens et Chypriotes). Elle est ensuite successivement envahie par les Phéniciens qui y installent des colonies, les Carthaginois qui annexent l'île à leur empire, et les Phocéens.
IIIe siècle av. J.-C. - Les Sardes tombent ensuite sous la domination de Rome, ce qui marque la fin de la civilisation des nuraghi. Rome développe une administration rigoureuse et construit un ambitieux réseau routier, dont certains vestiges demeurent, lorsque l'actuel tracé ne les a pas recouverts.
V-IXe siècles - Le déclin de Rome ouvre la voie aux Vandales (V-VIe siècles) qui, une fois vaincus par l'Empire d'Orient, abandonnent la Sardaigne à la lointaine Byzance. L'expansion arabe en Méditerranée, au IXe siècle, entraîne des razzias qui dévastent les côtes pendant trois siècles. Laissés à leur sort par l'Empire byzantin, les Sardes s'organisent administrativement et militairement en quatre giudicati, royaumes indépendants, mais ils font finalement appel aux Républiques de Gênes et de Pise pour les défendre.
1297 - Cependant, après avoir éliminé les Arabes, les deux cités se disputent l'île. C'est finalement le pape Boniface VIII qui l'adjuge (ainsi que la Corse) au roi d'Aragon, qui l'occupe durablement par la force. Le catalan s'impose alors comme langue dominante jusqu'au XVIIIe siècle.
XVIIIe-XIXe siècles - Après une parenthèse autrichienne (1708-1718), la Sardaigne échoit au duc de Savoie qui en devient le roi en 1720, avant d'être intégrée au royaume d'Italie en 1861. Ce rattachement entraîne la disparition complète du catalan de l'administration et de l'Église au profit de l'italien (langue officielle dès 1764).
1948 - Le lourd tribu que payent les Sardes durant la Première Guerre mondiale (les pertes d'hommes jeunes ont été proportionnellement les plus importantes de toutes les régions d'Italie) ravive les velléités autonomistes. Il faudra cependant attendre la fin de l'ère mussolinienne et 1948 pour que la Sardaigne obtienne le statut de région autonome ; une autonomie relative puisque aucune disposition linguistique officialisant le sarde n'est prévue. Aussi une frange de la population continue-t-elle à réclamer la reconnaissance du sarde comme langue nationale de l'île, au même titre que l'italien. Le gouvernement central s'est jusqu'à ce jour réservé le droit exclusif de statuer sur cette affaire, et c'est vers l'Union européenne que se tournent aujourd'hui les espoirs des autonomistes.
1952 - L'armée américaine, financée par la fondation Rockefeller, parvient à éradiquer le paludisme.
Années 1950-1970 - La Cassa per il Mezzogiorno et le piano di Rinascita financent des avancées dans le domaine de l'agriculture, de l'éducation, de l'industrie, du transport et de la banque.
1985 - Francesco Cossiga, natif de Sassari, est élu président de la République italienne.
1994 - L'archipel de la Maddalena est classé parc national marin, avec ses 15 046 ha de superficie marine et 180 km de côtes.
2004 - Renato Soru, entrepreneur milliardaire et "self-made man", est élu président de Sardaigne à la tête d'un gouvernement de centre-gauche.
2005 - Une loi régionale adoptée en 2001 prévoit un total de huit provinces à partir du 9 mai 2005. Les quatre nouvelles provinces sont : la Province d'Olbia-Tempio (OT), la Province de l'Ogliastra (OG), la Province de Carbonia-Iglesias (CI) et la Province du Medio Campidano (MD). En 2005, le chant A Tenore (chant polyphonique à 4 hommes) a été proclamé patrimoine oral et immatériel de l'Humanité
Géographie :
La Sardaigne a été longtemps considérée comme la plus grande île de Méditerranée. En fait, elle est la seconde après la Sicile. Elle est majoritairement constituée de montagnes et collines, et le massif montagneux principal, le Gennargentu, qui se trouve dans la partie centre-orientale de l’île, culmine à 1834 m d’altitude. Au cœur de l’île on trouve des gorges sublimes et des falaises calcaires, modelés par l’érosion, toujours entourées de forêts d’un vert saturé. On aperçoit également des parties planes, dont la seule réellement remarquable est celle du Campidano, une vaste plaine d’origine fluviale. Les deux rivières principales sont le Flumendosa, long de 127 km, et le Tirso avec ses 135 km. De nombreux barrages en Sardaigne, forment des lacs artificiels qui servent à l’irrigation des champs.
Climat :
Généralement, le climat de l’île est doux. Soleil, chaleur et le ciel bleu sont à l’ordre du jour. Il fait très chaud en été,
notamment en juillet et août, mais grâce à l’insularité la chaleur n’est jamais torride. De masses d’air en provenance d’Afrique, de l’Atlantique et de l’Arctique influencent le climat sur l’île. Pendant plus des trois quarts de l’année, surtout en été et en printemps il fait beau, le reste du temps il pleut fréquemment. En été, les averses se produisent rarement, mais on doit s’y attendre en printemps. La Sardaigne est très ventée par le Mistral. Notamment la côte ouest, au sud d’Oristano elle en subit. Les Températures moyennes sont de décembre à mars à 15°C, d’avril à juin à23°C, de juin à septembre à 28°C et de septembre à novembre à 20°C.
Faune et flore :
L’espèce la plus présente en Sardaigne est dans doute la brebis. On en compte 3 millions d’exemplaires, elles sont 2 fois plus nombreuses que les habitants humains. De Plus, l’île abrite des centaines d’espèces d’oiseaux différentes, dont la plupart se trouve sur leS côtes, par exemple des magnifiques flamants roses ou des érismatures (petits canards) à tête blanche, des foulques, grèbes, sternes… Dans les montagnes du centre de l’île on trouve des majestueux rapaces comme par exemple le griffon, l’aigle royal ou l’aigle de Bonelli.
Malheureusement, l’espèce traditionnellement associé à l’île a aujourd’hui presque disparu : la phoque moine, mais un autre mammifère emblématique, le serf sarde, survit dans les forêts. D’autres petits mammifères, comme la belette, le renard, le lièvre et le loir sont menacés par la réduction de leur habitat naturel. Le sanglier sarde ne semble pas être menacé, bien qu’il soit le butin préféré des chasseurs. La végétation sarde est extrêmement riche, grâce à la diversité des sols et des climats. Le genévrier est le symbole de l’île et il est encore très répandu sur l’île entière et le maquis est présent sur les sols particulièrement pauvres. Dans le Sud-Ouest de la Sardaigne il y a également des palmiers nain, l’eucalyptus et des pis.
Langue :
Bien que l'italien soit la langue officielle de la République, le statut spécial de l'île permet – théoriquement – une défense du sarde, lequel est la langue maternelle de 1,3 million de personnes pour une population totale de 1,7 million. Les insulaires sont donc en grande majorité bilingues.
Bonjour : buongiorno! (Sarde : bonardies!)
Au revoir: arrivederci (familier: ciao!)
Oui: si
Non: no
S'il vous plaît: per favore
Merci: grazie
Excusez-moi: mi scusi
Religion :
La Sardaigne est chrétienne majoritairement catholique, d’ailleurs religion d'État depuis 1985. Malgré le déclin de l'influence de l'Église dans la péninsule depuis la fin de la Deuxième Guerre mondiale, de nombreuses paroisses sardes voient leurs églises remplies lors des offices et de nombreuses chapelles accueillent des pèlerinages ou des retraites. Une particularité de l'île tient à l'influence ibérique, résultant d'une domination de plusieurs siècles : on retrouve en effet les processions nocturnes de Pâques animées par des confréries cagoulées, en particulier à Iglesias, Castelsardo ou Tempio Pausania.
Gastronomie :
La cuisine a connu une évolution particulière qui conserve encore aujourd'hui beaucoup de ses anciennes caractéristiques. Parmi les pâtes on distingue les culurzones (sortes de raviolis fourrés d’un mélange de pommes de terre, oignon, semoule et noix de muscade), les malloreddus (en forme de coquillages), mais aussi les pillus (sortes de nouilles). La viande, cuite à la braise, souvent aromatisée au myrthe ou à la suie, est la reine des repas de fête : agneau, chevreau, cochon de lait, marcassin. Le pane carasau est un pain typique sarde. Les fromages : beaucoup de fromages de brebis bien sûr et quelques autres comme fleur Sarde, le Canestrati, ou les caprini (Ce sont les fromages de lait de chèvre). Les pâtisseries : les gâteaux, le plus souvent aux amandes (les amarettus ou Amaretti, les Gattò), mais aussi au miel et aux épices. On peut donner d'autres exemples comme les Pardule (petits gâteaux à base de Ricotta), les chiacchiere (sortes de bugnes), l'aranzata (gâteaux à l'orange), les sebadas (beignet au fromage et au citron) ou les Cardinali (petits gâteaux moelleux). Les boissons : Les vins sardes sont moins connus que ceux d'autres régions d'Italie, mais leur renommée grandit. L'eau-de-vie (de raisin et de myrthe) et la vernaccia (vin très doux avec un haut degré d'alcool) sont très courants.
Formalités :
- Pour les ressortissants français, passeport ou carte d'identité valide. Pas de visa.
- Pour les autres ressortissants, merci de vous référer au site http://www.action-visas.com
Santé :
- Pas de vaccinations obligatoires mais certains sont conseillés (diphtérie, tétanos, poliomyélite, rougeole, coqueluche et hépatites A et B).
Monnaie :
L’euro a remplacé la lire portugaise en janvier 2002.
Décalage horaire :
pas de décalage horaire.
Encadrement :
- Voyages encadrés : un accompagnateur francophone
- Voyages Liberté : sans accompagnateur, logistique sur place
Équipement :
15 kg maximum en dehors de votre bagage à main.
1 sac marin, sac à dos ou sac de voyage avec des roulettes, plus facile à transporter.
+ grand sac plastique pour protéger les vêtements en cas d'orage
1 petit sac à dos (30 litres) (affaires de la journée) = bagage à main dans l'avion.
1 sac de couchage
Chaussures de marche (légères et solides) ou chaussures de moyenne montagne (en cuir).
Les chaussures doivent avoir été déjà portées !!
1 paire de baskets ou espadrilles pour le soir.
Anorak chaud ou petite veste en duvet en hiver, et veste type Goretex en été.
2 pulls over : 1 léger + 1 très chaud (ou fibre dite "polaire").
Cape de pluie.
Chemises, Tee-shirts, pantalon confortable, training selon les goûts de chacun.
Short long et maillot de bain (à partir de mai).
Serviette de bain
Chapeau et lunettes de soleil.
Chaussettes laine et coton.
1 boussole.
1 pochette plastique pour protéger les documents du road book.
Lampe de poche (type frontale), piles et ampoules de rechange.
2 Gourdes d'un litre minimum et canif de poche.
Nécessaire de toilette (serviettes rafraîchissantes pour remplacer l’eau de toilette : lingettes).
Papier hygiénique et briquet pour brûler celui-ci après usage.
Petite pharmacie personnelle (médicaments personnels, aspirine ou doliprane, vitamine C, anti diarrhéique, collyre, crème solaire (lèvres et peau), crème hydratante, un rouleau de sparadrap, une bande élastique adhésive large style Elastoplast (éventuellement "double-peau" contre les ampoules), une boite de pansements adhésifs, pochettes de désinfectants prêtes à l'emploi, 10 compresses stériles, pastilles de micro pure ou d'hydroclonazone pour désinfecter l'eau et anti-moustique.
Nous vous conseillons de prendre des valises à roulettes par commodité, sauf pour les programmes avec des animaux de bas (chameaux, mules, ânes…) où il faut privilégier les sacs à dos et sacs de voyages pour éviter de blesser les animaux.
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Olga– :
Autotour magnifique. Je viens juste de rentrer et je vous assure, plus besoin d’aller dans les caraïbes pour profiter de la mer turquoise. La Sardaigne cache de sublimes trésors, avec de magnifiques plages de sable fins mais aussi de sympathiques petits villages ou règne convivialité et bonne humeur. Je pense surtout au village de Tiscali que j’ai vraiment apprécié. Si vous aller dans ce coin de la Sardaigne profitez en pour contempler les roches calcaires du Supramente qui sont toutes impressionnantes les unes que les autres.